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A Mort les BANKSTERS qui nous ruinent !

Le Repaire de nancy du lundi 7 novembre aura pour thème : "les banksters" !

 

Bankster

Bankster ou banqster est un mot-valise fusionnant les termes banquier et gangster. Le mot bankster fut inventé par l'avocat américain Ferdinand Pecora, qui présida la commission du Sénat américain ayant enquêté sur les origines du krach de 1929.

Le belge Léon Degrelle, écrivain et journaliste d'extrême droite, diffusa le mot bankster dans son journal Le pays réel et l'utilisa pour le titre de deux de ces livres.

Aujourd'hui, ce nom désigne péjorativement les banquiers qui bénéficient des conséquences des lois successives interdisant aux États et collectivités publiques la possibilité de s'endetter directement auprès de leur banque centrale. Avec cette interdiction, il fallut donc trouver d'autres sources de financement, principalement en empruntant à des taux d'intérêts plus élevés aux banques privées ou encore par des emprunts nationaux.

Ainsi, à l'instar du budget de l'État français, la dette cumulée correspond à 100 milliards d'euros près à la somme des intérêts versée aux banques privées depuis 1973.

La notion de bankster s'est popularisée depuis la dernière crise financière et cela grâce au succès du film l'Argent dette.

 

extrait de wikipedia.org

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REPAIRE_NANCY_2011_11_Bankster.jpg

Welcome to Bankster.tv ! La lutte est à vous !

En 2008, les grands patrons des banques les plus importantes au niveau mondial étaient à genoux devant les Etats en gémissant qu'ils allaient tous mourir si nous (les Peuples, à travers nos dirigeants) ne les aidions pas à sortir du bourbier où leur propre cupidité les avait placés.

Aujourd'hui, remis de leurs émotion, et engrangeant à nouveau de mirifiques profits, ils reviennent, la gueule enfarinée, nous donner des leçons de morale, et se payent même le luxe inouï de nous réclamer en plus le prix de la passe!

Citoyens, reprenons à ces pendards détrousseurs tous les privilèges iniques qu'ils ont acquis par la ruse et le chantage!

Reprenons notre droit de battre monnaie, et ré-accordons-nous à nous-mêmes le droit de nous endetter pour notre propre futur, sans terme ni intérêt, auprès de nos banques centrales nationales.

Nous n'avons aucune raison de payer encore et toujours plus de dettes et d'intérêts sur la dette à des pourris de la sorte. Avançons-nous la tête haute pour leur dire, enfin, "NON!"

Ils ont un pouvoir que personne ne conteste, donc ils abusent de ce pouvoir. C'est aussi simple que cela . Le fait est qu'ils ont abusé si longtemps qu'ils ont créé un système légal qui les protège. Notre silence, et l'endormissement post-soixante-huitard de la classe moyenne des baby-boomers, ont laissé pendant quarante ans la bride sur le cou à ces pouvoirs sans nom et sans visage.

Malheureusement, l'Histoire nous apprend qu'une caste de privilégié n'abandonne ses privilèges qu'au cours d'une révolution. Saurons-nous en faire une qui soit non-violente? On l'espère, mais le temps presse, car nous avons le sentiment que le Peuple pourrait assez rapidement voir ses velléités de révolte broyées dans un "Grand Effort Commun pour la Patrie". Et on ne pense pas particulièrement ici au "grand emprunt".

Abolissons le décret de 1973, l'article 104 de Maastricht,123 de Lisbonne et exigeons une couverture à 100% des dépôts !

 

 

extrait de www.bankster.tv

 

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La Loi n°73-7 du 3 janvier 1973 sur la Banque de France

 

La Loi n°73-7 du 3 janvier 1973 sur la Banque de France (aussi appelée loi Pompidou-Giscard du 3 janvier 1973, et parfois, péjorativement, loi Rothschild, allusion au fait que Pompidou fut directeur général de la Banque Rothschild), est une loi votée en France sous l'impulsion de Valéry Giscard d'Estaing, alors ministre de l'Économie et des Finances, sous la présidence de Georges Pompidou.

L'article 25 de cette loi est le suivant : « Le Trésor public ne peut être présentateur de ses propres effets à l'escompte de la Banque de France. »

Cet article a également été repris par l'article 104 du traité de Maastricht et par l'article 123 du traité de Lisbonne.

Sommaire

 [masquer

Loi et conséquences 

Cette loi modifie l'organisation de la Banque de France et affaiblit les droits du Trésor Public par rapport à celle-ci. L'article 25 interdit en effet au Trésor Public d'emprunter directement à la Banque de France à un taux d'intérêt faible ou nul (par création monétaire), comme il en avait jusqu'alors le droit1. Cet article prévoit : « Le Trésor public ne peut être présentateur de ses propres effets à l'escompte de la Banque de France »1. Les gouvernements français devront dès lors trouver d'autres sources de financement, principalement en empruntant à des taux d'intérêts plus élevés aux banques privées ou encore par des emprunts nationaux.

Un emprunt national sera d'ailleurs émis juste après la création de cette loi. En 1973, Valéry Giscard d'Estaing met en place l'Emprunt Giscard, emprunt national à un taux d'intérêt de 7% qui sera particulièrement coûteux pour la France2,3,4,5,6,7 puisque pour 7,5 milliards de francs emprunté pour 15 ans, l'État dut rembourser (en intérêts et capital) plus de 90 milliards de francs.

Opposition à cette loi 

Plusieurs personnalités politiques ont dénoncé cette loi comme un endettement volontaire de la France au bénéfice des banques privées8,9,10, le Trésor Public devant emprunter aux banques privées à des taux d'intérêts plus élevés que ceux pratiqués par la Banque centrale (Banque de France puis BCE)11, augmentant depuis lors la dette publique de la France. Ceci semble corroboré par le graphique ci-contre.

L'essayiste André-Jacques Holbecq estime que, par cette loi, l’État a transféré son droit régalien de création monétaire sur le système bancaire privé12. Nicolas Dupont-Aignan explique11:

« Comment pouvons-nous accepter d'avoir transféré la création monétaire au secteur privé, c'est-à-dire aux banques privées ? […] Est-il normal, pour construire une autoroute, pour financer le haut débit, d'emprunter à 3% à des banques ou par des obligations alors que la banque centrale publique prête à 1% ? […] Alors même que l'on pourrait, comme la France l'a fait jusqu'en 73, avec la plus forte croissance de l'Occident, financer à un taux abordable nos équipements publics. »

En octobre 2010, Alain Colbert, du Parti de gauche, écrivait8: La France a payé, depuis 1980, 1176 milliards d'euros d'intérêts. Sa dette actuelle s'élève à 1149 milliards d'euros. 1176 - 1149 = 27. Si la France se prêtait à elle-même, au lieu d'une dette abyssale, elle se retrouverait avec 27 milliards d'excédents.


Selon Marine Le Pen, « depuis une loi de 1973, confirmée par les Traités européens, les marchés et les banques ont le monopole du financement de l’Etat. Notre dépendance de plus en plus forte vis-à-vis des marchés vient précisément de là : parce que c’est à eux exclusivement qu’on peut emprunter, parce qu’ils ont un monopole et qu’ils peuvent nous imposer leurs conditions, nous imposer des taux d’intérêt élevés »13. Elle propose l'abrogation de cette loi.

D'autre part, l'on peut aussi considérer que le rejet de cette loi est implicite dans la proposition de loi n°157 du 22 juillet 1981, présenté par un groupe de députés gaullistes, et visant à établir un « budget de croissance » financé par « création monétaire » auprès de la Banque de France14[réf. insuffisante].

Justifications 

Interrogé en 2008, Valéry Giscard d'Estaing déclare sur son site internet : « La réforme des statuts de la Banque de France, adoptée sous le mandat de Georges Pompidou et lorsque j'étais ministre des Finances, est une réforme moderne qui a transposé en France la pratique en vigueur dans tous les grands pays : il s'agissait à l'époque de constituer un véritable marché des titres à court, moyen et long terme, qu'il soit émis par une entité privée ou publique »15.

Cette loi empêche de mettre en œuvre des stratégies inflationnistes de type assouplissement quantitatif et empêche donc la dévaluation progressive de la monnaie corrélative à l'augmentation de l'endettement étatique.[réf. nécessaire]

 

extrait de wikipedia.org

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